Test Suunto Spartan

Très attendue depuis les premières fuites qui ont alimentées les rumeurs et les forums tout l’été, Suunto a enfin levé le voile sur son nouveau jouet de la rentrée : la Spartan.


D’une finition proche de la perfection, le petit bijou de 73 grammes est doté d’une vitre en cristal de saphir, d’un boitier en polyamide et d’un écran LED tactile d’un résolution de 320X300 du plus bel effet. (A noter que l’écran tactile est utilisable avec des gants ou avec les doigts mouillés et que la lisibilité est bonne même en plein soleil !)
A l’image des ordinateurs portable d’Apple, le connecteur est aimanté, fini la pince des Ambit 3 ! La prise en main est immédiate et la navigation dans les menus se fait de manière intuitive. L’ autonomie de la Spartan Ultra annoncée par Suunto est d’une 20 aine d’heure avec la précision GPS au max. Pas d’evolution majeure de ce coté la par rapport à une Ambit 3 Peak. Mais notons qu’il est désormais possible de modifier les réglages directement depuis la montre sans passer par l’interface Movescount.

La partie Navigation ne change pas par rapport aux Ambit 3 mais l’apport de l’écran couleur offre une meilleure visibilité des tracés et globalement une ergonomie supérieure.

Avec plus de 80 modes sportifs pré enregistrés, on ne doute pas que vous devrez y trouver votre bonheur (ceci dit, je reste un peu sceptique quand à l’utilisation d’un GPS pour le volleyball ou encore le bowling, si si ! c’est inclus ) Les écrans du mode exercice offrent une multitude de données (jusqu’à 6 par écran) visibles en un seul coup d’oeil.

Elle est pour le moment déclinée en 2 versions, (Sport et Ultra, avec ou sans baromètre, et avec une autonomie meilleure sur l’Ultra) et inclut bien entendu les gadgets classique d’une montre connectée avec un vibreur, le suivi de votre activité quotidienne ou encore la liaison avec le smartphone, on peut désormais répondre au téléphone d’une simple pression sur l’écran…inutile mais néanmoins sympathique !

Important : la dernière mise à jour corrige les petits défaut de jeunesse et on obtient là une montre multisport proche de la perfection.
Mats NeilPryde 2017